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Le FFAST : la programmation

Publié vendredi 30 janvier 2015
Dernière modification jeudi 29 janvier 2015
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Par Gandhi Tata

Dossier FFAST 2015 3e édition
◀ Le FFAST : les journées d’études
▶ Le FFAST : le film d’ouverture

Cette année, six films seront en compétition pour remporter le prix FFAST 2015. Au programme, cinq films indiens et un film pakistanais : Capital I, Goli Soda, Lucia, Teenkahon, Titli et Zinda Bhaag.


L’équipe du FFAST a voulu ouvrir de nouveaux espaces cinématographiques, faire place à d’autres expériences visuelles et sonores. Avec son concept de cinéma Prayoga, Amrit Gangar nous présente une sélection inédite en France d’un cinéma qui bouscule les codes narratifs, pour offrir une méditation poétique sur le monde : Night Noon, Mount Song, 21 Chitrakoot, Place for Landing, Scene 32 (Shambhavi Kaul), Sur le quai, Juste le temps, Hong-Kong Song, Chili-Impressions, 7 Visions Fugitives, Blind Song (Robert Cahen), Vismayam (Soudhamini), Kings of wind and electric queens (Cédric Dupire, Gaspard Kuentz), Voyage indien 1 & 2 (Philippe Cote), Prayoga sans frontières (Pierre Friquet)

Enfin, l’année 2013 marque une nouvelle dynamique dans la production cinématographique au Pakistan, une dynamique qui pousse les critiques à parler, aussi, de nouvelle vague du cinéma pakistanais, entrant en résonance avec son voisin indien. Qu’en est-il vraiment ? Au programme : Operation 21 et Zinda Laash. Ce focus vous propose de découvrir des films contemporains, et de mieux comprendre les enjeux du pays, avec une table-ronde de spécialistes. Les participants à cette table ronde seront : Amélie Blom du CEIAS, Julien Levesque du CEIAS, Meenu Gaur, Farjad Nabi, réalisateurs de Zinda Bhaag.


La soirée FFAST & Frissons se déroulera au Reflet Médicis durant toute la nuit du vendredi 6 février, le FFAST a décidé de vous faire frissonner de plaisir !

Vinod Pande, réalisateur controversé, a fait couler beaucoup d’encre avec ses films “classés adultes”. Maître du film érotique, ses films ont été cultes pour toute une génération, et son cinéma, labellisé cinéma bis, a été une source d’inspiration pour des réalisateurs comme Ashim Ahluwalia et son Miss Lovely, présenté à Cannes en 2013 et gagnant du prix du jury FFAST 2014.

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